
Presse
"16 musiciens à vélo pendant 14 jours : les Forces Majeures battent des records.
Pendant 2 semaines, du 10 au 24 avril, l’orchestre Les Forces Majeures parcourra 250 km à vélo, de Grenoble à Genève. L’ensemble de Raphaël Merlin donnera des concerts dans vingt communes de la région. Intitulée « Accordez vos vélos ! », cette tournée permet de repenser en profondeur la circulation des artistes, autant dans ses dimensions écologiques, qu’économiques ou humaines. Ancien ingénieur, passionné de vélo, Robin Ducancel est le Directeur général des Forces Majeures. Membre fondateur d’Arviva, il sera sur les routes avec les musiciens et explique pourquoi…"

« Les jeunes musiciens des Forces Majeures sont à l’unisson de la voix par le refus de l’outrance et la variété de couleurs ».

« L’effectif relativement réduit de cet orchestre contribue à la clarté et la transparence du discours, l’énergie communicative de la mezzo étant parfaitement en phase avec celle des Forces majeures, formation que dirige avec passion et conviction son chef et créateur Raphaël Merlin. Ce disque, décidément, nous était dû ! »

« Il faut déjà dire un mot des accompagnateurs, les jeunes musiciens des Forces majeures sous la direction de Raphaël Merlin : ils sont impeccables. Merlin, comme Jérémie Rohrer, comme Raphaël Pichon, comme Maxime Pascal, est un de ces jeunes chefs qui ont eu une brillante formation d’instrumentiste ou de chanteur et qui ont commencé comme tel (Merlin comme violoncelliste du Quatuor Ebène) avant de passer à la direction. Il mène au combat avec succès un ensemble de jeunes solistes tous remarquables, qui savent à la fois se montrer individuellement brillants et constituer un son collectif, respectueux du brio et de l’éclat rossinien. »

« Chaque pupitre se détache distinctement sans que jamais l'on perde l'impression d'ensemble, comme une image dont on percevrait simultanément le sujet et chacun des pixels qui la compose. On aime décidément cette lecture dégraissée de Rossini, libre, juvénile mais rigoureuse, impertinente, énergique, d'une énergie revigorante jusque dans ses excès assumés – les à-coups qui dans « Tanti affetti » transmuent l'orchestre en orphéon municipal. »

« L’excellent ensemble les Forces Majeures porte alternativement les masques de l’humour ou de la tragédie ».

« D’emblée la discipline pourrait faire croire à un orchestre constitué, passant sa vie à jouer ensemble ; c’est que, là aussi, le plaisir sert de guide. L’énergie, la gourmandise même, de ce « collectif » s’emparent de chaque page et insufflent à cette musique un pétillement d’autant plus vif qu’ils semblent en être eux-mêmes enivrés. L’ensemble Les Forces Majeures laisse à penser qu’une nouvelle renaissance Rossini serait peut-être celle de l’orchestre rossinien »